Si le jour se lève sous un grand ciel bleu, Lionel lui ne pourra pas se lever. Vaseux toute l’après-midi, la nuit a été difficile à cause de nausées. Il faut dire qu’on avait beaucoup mangé la veille à midi et qu’on avait passé tout la journée entre le froid et l’humidité extérieure d’un côté, et les courant d’air et la climatisation à 26°C de l’autre. Quand je retrouve nos compatriotes dans la cuisine, je les vois également avec un Doliprane chacun… Pour une fois que c’est pas moi qui suis malade en vacances, je suis très fière de mon corps !
Départ à 75% des objectifs pour Asakusa, le plus vieux temples de Tokyo. On aurait voulu y aller tôt, mais les états de santé de la bande n’ont pas permis d’y arriver. Quand on arrive, c’est presque noir de monde. On erre un peu dans le temple puis on fait une petite pause avant de rejoindre un sanctuaire moins chargé. C’est quand Pilou a couru jusqu’au toilettes quand on a compris qu’on était en train de perdre 33% des effectifs restant.
Retour à l’appartement pour coucher Pilou… et récupérer Lionel qui se sentait un peu mieux. On retourne faire un tour dans les boutiques de Akihabara.
L’anecdote boutique du jour
Dans une boutique, je repère 4 patchs pour vêtements Disney officiel. On les avais bien vu à Disney mais le prix nous avait permis d’être raisonnable. Sauf qu’ils sont affichés ici à plus de 1000 yens de moins. Je décide d’en demander pour moi, et pour Pilou comme elle n’était pas présente. Comme souvent, ce n’est pas facile de se comprendre en anglais. Je lui en demande 2 de chaque, mais du coup il ne m’en sort que 2 différents. Je lui dis 2 du premier, 2 du second. J’en ai maintenant 4 alors que j’en voulais 4 fois 2, huit. À chaque fois, il doit coller une étiquette de prix, c’est long. Enfin, Kév’ me consigne d’en prendre un autre. Je lui demande, et là c’est panique à bord… le prix indiqué sur le patch en expo n’est pas le même que sur l’étiquette. Il vérifie une fois, deux fois, trois fois… il va voir un collègue, puis un autre et fini par passer un coup de téléphone. Ça prend une plombe pour créer des nouvelles étiquettes qu’il pourra enfin scanner. Ah ici les règles c’est les règles !
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